Jonas Gardell, « N’essuie jamais de larmes sans gants »

gardell-blog-gantsEn 2016, j’ai lu 50 livres. J’en ai adoré sept. Et puis il y a eu N’essuie jamais de larmes sans gants , et… j’ai été émerveillée. À chaque page, du début à la fin. Le coeur qui battait, la gorge qui se serrait face à un texte tellement bouleversant. Je vous l’ai déjà dit, je pleure de temps en temps de chagrin, de rage parfois, mais pas d’émotion. Je n’ai pas pleuré, je n’ai pas sangloté en lisant ce livre, mais je n’ai pourtant presque jamais ressenti physiquement une émotion littéraire aussi intense.

Lire la suite

Publicité